Accusé pour un prétendu détournement, dont la nouvelle équipe dirigeante du Cadastre Minier (CAMI) serait l’auteur, la délégation syndicale de cette institution publique, a tenu à informé l’opinion public que toutes les informations publiées sur les réseaux sociaux sont fausses. C’est dans un communiqué signé par le vice-président de la délégation syndicale, dont une copie est parvenue à Mines et Industries Magazine.
Dans ce communiqué ressort quelques points forts qui démentent clairement les accusations infondées sur les dirigeants du CAMI. Réuni ce 14 novembre 2023 en séance extraordinaire, pour l’examination de ce dossier, la délégation syndicale a-t-elle rejeté ces allégations dont la teneur frise la diffamation et l’imputation dommageable, faits prévus et punis par le code pénal rdcongolais.
C’est ainsi que la délégation syndicale appelle le public à ne prêter aucune crédibilité à ces allégations infondées. A cette même occasion, elle invite les dirigeants du CAMI à maintenir l’élan des réformes annoncées lors d’une réunion mixte ténue en octobre dernier, avec le Banc syndical, au cours de laquelle les doléances portées à leur connaissance ont trouvé satisfaction.
» La délégation syndicale informe le public que, depuis le début de l’année 2023, toutes les dépenses du CAMI, sont soumises à un encadrement strict de l’Inspection Générale des Finances. Cette supervision se déroule, en marge d’une autre mission de contrôle de gestion par la même institution, couvrant la période allant de 2018 à 2022, dont les conclusions sont attendus à ce jour« , renseigne le communiqué.
A en croire, ces allégations portées sur l’administration du CAMI sont relayés par les réseaux sociaux et quelques organes de presse, dont la volonté est de nuire à cette entreprise du portefeuille de l’état.
Trésor Kasamba, journaliste stagiaire