La Société Minière de Bakwanga (MIBA), reste la dernière unité de production à vivre le changement parmi les grandes autres entreprises du portefeuille de l’Etat. Au-delà de la Générale des carrières et des Mines (Gécamines SA) et de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC), la MIBA est encore en instance sous étude de la relance effective de ses activités.
Apparemment, il n’y a aucun espoir pour les agents de la MIBA. Et, cela, malgré la remise et reprise effectuée récemment, entre la nouvelle équipe entrante et celle sortante. Car, depuis ce jour, les agents de cette société ne constatent aucun changement, s’est exclamé une source dont l’anonymat est requis.
En effet, de multiples facteurs, liés aux conditions géologiques, aux problèmes de gouvernance ou des conflits locaux sont à la base de la situation désastreuse de la MIBA. Depuis l’installation du nouveau comité de gestion, le gouvernement pense-t-il à raccommoder la valeur de cette entreprise ?
Concrètement, l’état actuel de la minière de Bakwanga est difficile puisque la société est en butte aux problèmes financiers et opérationnels. C’est ainsi que les agents de cette société souhaitent la relance immédiate des activités, pour relever les défis.
Trésor Kasamba, journaliste stagiaire