Culture

Au deuxième jour du colloque sur la rumba congolaise, la Société congolaise des droits d’auteur et droits voisins (SOCODA) s’est retrouvée au centre d’un débat âpre sur la transparence, la redistribution des revenus et la protection des artistes à l’ère du numérique. Entre témoignages d’artistes frustrés et réponses prudentes de la gestion collective, le fossé entre attentes et pratiques apparaît profond.

Lors de la première journée du colloque de la rumba congolaise ce 04 qui se tient au Bureau Wallonie Bruxelles, les débats ont porté sur l’histoire de la rumba, ses retombées culturelles et économiques, ainsi que sur les moyens de sa transmission à l’ère des technologies numériques.

Du 4 au 5 novembre 2025, chercheurs, artistes et acteurs culturels se penchents sur l’avenir de la rumba congolaise face aux défis et aux opportunités du numérique. Entre restitution historique, questions de transmission et pistes d’innovation, le colloque pose la question centrale : comment préserver un patrimoine immatériel tout en le rendant vivant et accessible aux nouvelles générations.

Le Bureau Wallonie Bruxelles de Lubumbashi organise, les 4 et 5 novembre 2025, un colloque scientifique dédié à la rumba congolaise à l’heure du numérique. Objectif : réfléchir aux enjeux de préservation du patrimoine et aux opportunités offertes par les technologies pour renforcer la diffusion et la durabilité de ce patrimoine culturel.

Pour la sixième année consécutive, la Société congolaise pour le traitement du Terril de Lubumbashi (STL) a rassemblé ses collaborateurs autour du marathon interne «Tuwe Mfano». L’événement a visé à promouvoir la santé, renforcer la cohésion d’équipe et célébrer l’esprit d’entreprise, une édition d’autant plus symbolique qu’elle coïncidait avec l’anniversaire du Directeur général, M. Grant Dempsey.

Le samedi 27 septembre 2025, à Lubumbashi, la célébration conjointe de la Fédération Wallonie Bruxelles et de la Wallonie a placé la mode au centre d’un rendez vous culturel et festif. Designers, jeunes créateurs belgo congolais et responsables diplomatiques ont fait de la soirée un symbole renouvelé d’échange, de mémoire partagée et de fraternité entre les deux pays.

Le 7 juillet 2025, la faculté des lettres, département des lettres et civilisation africaine et congolaise de l'Université de Lubumbashi (UNILU), a organisé une conférence pour célébrer la Journée mondiale du Kiswahili, initiée par l'UNESCO depuis 2021. Cet événement a connu la participation des professeurs, étudiants et divers invités. Le thème « Kiswahili : nguvu ya kijamii na utamaduni », a suscité des réflexions profondes et des échanges riches.

Lors de la célébration de la Journée mondiale du Kiswahili à l’Université de Lubumbashi, Faculté des Lettres et Sciences humaines, organisée par le département de civilisation africaine et congolaise, ce lundi 7 juillet 2025, la journaliste Denise Maheho, correspondante de la radio RFI, a souligné l'absence de publications en langue Kiswahili dans la presse Lushoise.

La direction générale de la société Tenke Fungurume Mining a organisé un tournoi interdépartemental rassemblant 18 équipes, dont deux formations féminines : OC Gazelles et OC Phoenix Kimbalasani. Ce tournoi, qui s’est déroulé du 1e mai au 26 juin 2025 à Fungurume a été marqué par un esprit de compétition remarquable. À l’issue de ces deux mois, le FC White Shark a remporté la coupe pour la deuxième année consécutive en finale contre le FC Nyota, son adversaire de 2024 et de ce 26 juin 2025. Du côté des dames, c’est l’équipe OC Gazelles qui a triomphé face au OC Phoenix Kimbalasani, décrochant ainsi le prestigieux trophée en or.

Récemment, un décret portant statut de l’artiste et du professionnel de la culture a été signé par la Première Ministre, Judith Suminwa, en présence de la Ministre de la Culture, Arts et Patrimoine, Madame Yolande Elebe Ma Ndembo. Cette initiative représente une avancée significative pour le secteur artistique en République Démocratique du Congo. Elle vise à officialiser et à reconnaître les métiers liés aux arts et à la culture comme des professions à part entière.