Agriculture

Ce mercredi 21 août 2024, à l’ouverture de la 3ème édition du GSAD (Grand salon de l’agro-business et du digital en Afrique), qui se tient à Lubumbashi, capitale de cuivre, un panel sur le thème : « Les défis de la production du maïs dans le cadre du changement climatique dans l’Arc cuprifère Katangais » y a était organisé.

Le Directeur général de l’ANAPI (Agence nationale pour la Promotion de l’Industrie), le professeur Bruno Tshibangu Kabaji, a ouvert officiellement la 3ème édition du GSAD (Grand salon de l’agro-business et du Digital en Afrique). Cette 3ème édition du GSAD se tient au Pullman Grand Karavia Hôtel de Lubumbashi, du 21 au 23 Août 2024.

Ce jeudi 22 août courant, 2ème jour de l’événement, au cœur du programme de la 3ème édition du GSAD, est inscrit un panel centré sur l’accompagnement des entrepreneurs dans le secteur agricole en RDCongo avec la participation de l’ANADEC, l’INPP et le FOGEC, les grands régulateurs dans le guide    essentiellement professionnel.

« En RDCongo, on parle de plus de 20 millions d’acteurs économiques qui travaillent dans l’informelle, notre objectif est de les formaliser, afin d’avoir une bonne base des données », a déclaré le président du conseil d’administration de la Chambre de Commerce Nationale de l’Economie (CCNE), Monsieur Mike Luntadila Koketua.  Il a fait cette déclaration, dans une interview accordée à Mines et Industries Magazine, au 2ème jour de sa participation à la 3ème édition du Grand Salon de l’agro-business et du digital (GSAD), qui a posé ses valises au Pullman Grand Karavia Hôtel de Lubumbashi, du 21 au 23 août courant.

Le grand salon de l’agro-business et la digitale (GSAD) pointe à l’horizon dans la ville de Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga. C’est sous le haut parrainage officiel du ministère national de l’Agriculture et Sécurité alimentaire que le GSAD va se dérouler autour des 6 domaines, notamment dans les Mines, les transports, les nouvelles technologies, l’énergie, les banques et les infrastructures, qui sont considérés comme les pôles d’attraction majeurs pour le développement.

Le mois d’août sonne le début de la récolte du maïs dans la concession TFM. Un ballet de camions s’observe entre les entrepôts de Tenke Fungurume Mining et les différents pools agricoles de la concession TFM. En effet, dès le début du mois, TFM travaille avec les deux comités locaux de développement (CLD), de la chefferie des Bayeke et de la commune de Fungurume, pour recouvrer le crédit maïs, étape ultime de la campagne agricole 2023-2024.

Les sociétés sous-traitantes à capitaux majoritairement congolais ont pratiquement 1 mois et 7 jours pour répondre à l'appel d'offres lancé par la  société Kisanfu SARL du Groupe CMOC. Cet appel porte sur la fourniture de nombreux biens nécessaires au fonctionnement de la mine et à la construction des infrastructures et des installations de cette entreprise.

Les organisateurs du Grand Salon de l’Agro-business et du Digital (GSAD) ont clôturé la 3ème édition 2024, ce vendredi 23 août courant, au Pullman Grand Karavia Hôtel de Lubumbashi. Ce forum qui prend de plus en plus de places, parmi beaucoup d’autres, se veut être un salon d’échanges et d’innovations pour le secteur agricole en RDCongo et en Afrique en général.

Fidèle à sa tradition, Tenke Fungurume Mining mène, à l’approche des pluies, une double activité qui relève du domaine agricole au profit des membres de la communautés locale. Pendant que la collecte des récoltes du maïs est en cours, TFM reçoit des lots importants d’intrants agricoles NPK 17-17-17 en vue de la nouvelle campagne agricole dans sa concession. Les intrants reçus pour la campagne agricole 2023-2024 vont couvrir une superficie de 3 605 hectares, dont 3 117 ha dédiés à la culture de maïs et 488 ha à la culture de haricot.

Lors d’un point de presse tenue au gouvernorat provincial du Haut-Katanga, ce lundi 12 août 2024, le ministre national du commerce extérieur, Julien Paluku Kahongya, a appelé les membres de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC/Haut-Katanga) à jouer leur partition sur la problématique de la production locale. Cela, après un échange commercial bipartite avec son homologue zambien Chipkoka Mulenga.